Ô saisons, ô châteaux...
Ô saisons, ô châteaux,
Quelle âme est sans défaut ?
Ô saisons, ô châteaux,
J'ai fait la magique étude
Du bonheur, que nul n'élude.
Ô vivre lui, chaque fois
Que chante son coq gaulois.
Mais ! je n'aurais plus d'envie,
Il s'est chargé de ma vie.
Ce charme ! il prit âme et corps,
et dispersa tous efforts.
Que comprendre à ma parole ?
Il fait qu'elle fuit et vole !
Ô saisons, ô châteaux !
[ Et, si le malheur m'entraîne,
Sa disgrâce m'est certaine.
Il faut que son dédain, las !
Me livre au plus prompt trépas !
Ô Saisons, ô Châteaux ! ]
Projets d'études néantes