Cahier d'écolier
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Le soleil était encore chaud ;
cependant il n'eclairait pres queplus la teirre; comme un flambeau placé devant les voutes gigantesque ne les eclaire plus que par une faible lueur ainsi le so leil flambeau terrestre s'eteignait en laissant echap per de son corps de feu une dernière et faible lueur laissant encore cependant voir les feuilles vertes des ar bres les petites fleus qui se fletrissaient et le somnet gigantesque des pins, des peuplies et des chenes séculai res. Ie vent rafraichissant, c'est a dire une brise fraiche agitait les feuilles des arbres avec un bruis sement apeuprés semblable a celui que faisait le bruit des eaux argentées du ruisseau qui coulait a mes pieds. les fougeres courbaient leur front vert devan..... le vent, je m'endormis non sans métre abreuvé de l'eau du ruisseau.
| Le soleil était encore chaud ;
cependant il n'éclairait presque plus la terre ; comme un flambeau placé devant les voûtes gigantesque ne les éclaire plus que par une faible lueur ainsi le soleil, flambeau terrestre, s'éteignait en laissant échapper de son corps de feu
une dernière et faible lueur laissant encore cependant voir les feuilles vertes des arbres, les petites fleurs qui se flétrissaient et le sommet gigantesque des pins, des peupliers et des chênes séculaires. Le vent rafraîchissant, c'est à dire une brise fraîche agitait les feuilles des arbres avec un bruissement à peu près
semblable à celui que faisait le bruit des eaux argentées du ruisseau qui coulait à mes pieds. Les fougères courbaient leur front vert devant le vent, je m'endormis non sans m’être abreuvé de l'eau du ruisseau.
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Page 10, 1ère colonne, I, Prologue, écrit à l'âge
de 10 ans, en 1864, dans un cahier d'écolier.
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